Bière de gamme à déguster toute l’année

American Pale Ale

Pizza ou viande blanche, fromage à pate pressée, mais aussi crudités et patisseries

UN PEU D'HISTOIRE

La Myrha : de la Turquie à l’Olympe

Myrha ? Myrha ? Mais d’où vient ce nom ? Tout simplement d’une rue de ce quartier de la Goutte d’or qui abrite notre brasserie (comme vous le savez) et qui n’a de cesse de nous surprendre. Elle fut d’abord rue de Constantine, en référence, comme beaucoup d’autres à l’époque, aux conquêtes coloniales. Même si, pour cause de doublon (et non pas de houblon), ces appellations furent abandonnées par la suite. En effet, nous nous trouvions alors sur la municipalité de La Chapelle. Lorsque ce village fut annexé à Paris, en 1860, il fallu rebaptiser plusieurs voies (rues d’Alger, de Mazagran…), mais d’autres ont subsisté dans les quartiers de la Goutte d’Or et de la Chapelle : la rue de la Guadeloupe, la rue de la Louisiane, la rue de la Martinique, la rue d’Oran ou la rue de l’Olive.

Revenons donc à la rue de Constantine dont la jumelle située dans le 7ème arrondissement remporta le nom. La première attestation historique qui évoque la rue Myrha date de 1849. On dit parfois qu’elle fut baptisée ainsi pour rendre hommage à l’ancien maire de la Chapelle dont la fille se prénommait ainsi. Mais un doute subsiste quant à la véracité de cette histoire. Une certitude (si l’on peut dire) :  Myrha était le nom d’un personnage mythologique, mère du célèbre Adonis.

Nous aimons bien cette histoire qui raconte les origines surnaturelles de notre fameuse bière. De cette rue cosmopolite qui ne manque pas d’animation, avec ses jardins partagés qui fleurent bons nous avons tiré une bière qui possède un sacré caractère.

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